A MES MAÎTRES
QUI PRIRENT CE QUI ÉTAIT DONNE
QUI DONNÈRENT CE QUI NE POUVAIT PAS ÊTRE PRIS.
(Idries Shah, Contes Derviches, Le Courrier du Livre, Paris, 1979, p. 5)
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Dr P. R. Sharma |
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Tout devant à gauche, le maître zen vietnamien, Thich Nhat Hanh; en haut, à gauche, Pierre-André Durussel,
lors d'un pèlerinage - retraite en Chine. Nous sommes à l'écoute d'un
magnifique maître chan bientôt centenaire, au centre, dans les jardins
de son monastère.
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Jean Lechim, mon cher professeur de Yoga. C'est lui qui m'a permis d'approfondir ma pratique ici, à Lausanne mais d'abord à Maracon, au retour de mon voyage initiatique dans les Indes de 1982. Je lui dois beaucoup.
Après des études en Inde (sciences agricoles et médecine ayurvédique traditionnelle) et en Occident où il termina sa carrière scientifique comme biochimiste à l'Université de Genève, le Dr Sharma quitte tout, vers 1979, pour aller étudier auprès de son maître spirituel à Jodhpur, suivant en cela la tradition hindoue. A partir de là, libre de toute attache, il consacre sa vie à soulager la souffrance de ses semblable et à éclairer le chemin de la Connaissance.
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